Tout mettre en œuvre pour célébrer le retour des jours meilleurs…

Alors qu’une certaine morosité est de mise en cette période de confinement, d’aucuns travaillent d’arrache-pied afin de remonter le moral des uns et des autres et leur proposer un divertissement de qualité une fois que la vie aura repris un cours normal.

Contraint, comme tout le monde, d’œuvrer depuis son domicile d’Eupen, Michael Bartholemy profite de cette période qui n’aurait pas dû être calme, notamment sur le front des compétitions mondiales de moto, pour avancer dans l’organisation de l’Ostbelgien Classic 2020 programmé les vendredi 4, samedi 5 et dimanche 6 décembre. Et le moins que l’on puisse dire, c’est que tout évolue favorablement, à un rythme soutenu…

« L’annonce des différents changements au sein de l’organisation a été très bien accueillie, et la création d’une catégorie Ostbelgien Classic Light, plus accessible et moins élitiste que la lutte pour le haut du classement général, a offert une bonne dose de motivation à certains, qui n’ont pas l’expérience des équipages de tête, commente Michael Bartholemy. Les bases de la deuxième édition sont donc solides, ce qui se ressent déjà au niveau des inscriptions, quand bien même l’épreuve n’aura lieu que dans huit mois. Une échéance qui peut paraître lointaine, mais ce laps de temps semble aussi être celui qui sera nécessaire afin que notre société retrouve un rythme normal. Le crédo de l’organisation et des premiers concurrents officialisés est le même : il y aura une vie après la pandémie, et on se réjouit de pouvoir de nouveau faire la fête, prendre le volant de nos chères voitures anciennes, se vider la tête lors d’un événement alliant compétition et plaisirs de fin d’année, le tout depuis le cœur d’une ville aussi chaleureuse qu’Eupen. Qu’on se le dise, le meilleur est forcément à venir… »

« Avant tout, l’équipe de l’Ostbelgien Classic tient à faire part de son respect et de ses remerciements les plus chaleureux envers ceux qui travaillent jour et nuit, parfois jusqu’à l’épuisement, pour sauver des vies et tenter d’inverser les courbes, poursuit Jeff Souren, toujours au nom de l’organisation. A chaque crise suit une période de redressement. Il est donc important d’avoir des projets, qui concernent notamment les loisirs, pour survivre à ce long confinement. Nous pensons que l’Ostbelgien Classic a une place à prendre, maintenant, et plus encore après. »

Déjà du beau monde

Parmi les concurrents de la première heure bien décidés à remettre le couvert afin de goûter à la catégorie Ostbelgien Classic Light, on pointe l’Allemand Dirk Lührmann, qui avait défrayé la chronique au volant d’une rutilante Lancia 037 Stradale dans sa version Chardonnet en décembre dernier. Ayant d’ores et déjà engagé plusieurs voitures, Lührmann profitera de l’occasion pour présenter sa dernière réalisation en date, une Mletzko dans la lignée de la Heartbeat réalisée sur base d’une Porsche 911 Type 964, qui avait suscité la curiosité auprès des concurrents et des observateurs lors de la première édition de l’Ostbelgien Classic.

L’exclusivité sera donc une fois encore de mise, pour la plus grande joie des passionnées. https://mletzko.com

Idéalement situé aux confins de la Belgique, à quelques tours de roues de l’Allemagne, des Pays-Bas et du Grand-Duché de Luxembourg, l’Ostbelgien Classic fait de plus en plus d’adeptes dans ces contrées frontalières. Preuve que la réussite d’une première édition constitue encore et toujours la meilleure des publicités.

Une liste initiale qui sera dévoilée sous peu, tandis qu’avec un duo aussi réputé que Joseph Lambert et Eric Chapa à la tête du parcours et de la gestion sportive de l’épreuve, nul doute que la lutte pour le classement général rassemblera les meilleurs spécialistes belges de la Régularité pour voitures anciennes.

Les engagements en vue de l’Ostbelgien Classic 2020 peuvent être enregistrés dès maintenant sur le site www.ostbelgien-classic.be.